Un été aux couleurs naturelles avec L’habit en roses
Comme chaque année, La Toison d’art revient sur les routes estivales pour célébrer la richesse des savoir-faire textiles. De fin juillet à septembre 2025, les Marchés Laine & Soie feront escale dans les villages et villes de caractère du Sud-Est, transformant places et ruelles en vitrines vivantes d’un artisanat authentique.
Parmi les exposants phares de cette édition, L’habit en roses, atelier de teinture végétale, participera aux sept premiers marchés de la tournée. Une belle occasion de découvrir ses créations textiles aux couleurs uniques.
Une filière textile vivante et engagée
Depuis 1992, La Toison d’art fédère éleveurs, teinturiers, tisserands, fileurs et créateurs passionnés autour d’un objectif commun : valoriser notamment la filière laine artisanale, du mouton au vêtement. Cette démarche s’incarne pleinement dans les Marchés Laine & Soie, où le public peut rencontrer les artisans, échanger, apprendre… et s’émerveiller.
L’habit en roses : teindre la laine et la soie avec poésie
Nouvellement engagée sur les marchés de la Toison d’art, L’habit en roses propose une démarche artistique et écologique de la couleur. Plantes tinctoriales locales, matières naturelles, techniques respectueuses du vivant : l’atelier compose une palette de nuances subtiles et durables. Ses collections d’écharpes, d’étoles, de vêtements ou encore de pièces décoratives se distinguent par une esthétique sensible et une exigence de qualité.
Rencontrer L’habit en roses, c’est plonger dans un univers végétal et lumineux, où chaque pièce raconte une histoire — celle d’une plante, d’un savoir-faire, d’un dialogue, d’une expression.
Où retrouver cet été L’habit en roses entre Cantal, Aubrac et Cévennes ?
Voici les 7 premières étapes de la tournée 2025 auxquelles participera l’atelier :
jeudi 24 juillet – Salers (15) esplanade de Barrouze
vendredi 25 juillet – Salers (15) esplanade de Barrouze
samedi 26 juillet – Murat (15) place du Balat
dimanche 27 juillet – Nasbinals (15) place de l’Eglise
lundi 28 juillet – La Malène (48)
mardi 29 juillet – Meyrueis (48) place Sully
mercredi 30 juillet – Florac Trois Rivières (48) esplanade Marceau Farelle
Une invitation au partage
Les marchés d’été de la Toison d’art sont plus que des lieux de vente : ce sont des espaces de rencontre, de transmission et de sensibilisation. Que vous soyez curieux, amateur de belles matières, ou simplement en quête d’authenticité, venez découvrir le talent d’artisans passionnés.
Histoire de branchages sur fonds de mythes anciens et d’épidémie nouvelle
Dans le charmant village de Sauxillanges, niché au cœur de l’Auvergne, il est un festival1, en juillet, qui chaque année attire les amoureux de la laine, du fait main, et des traditions ancestrales. Cette année, le Festival de la Laine a vu naître deux étranges créatures qui ont captivé l’imaginaire de tous : un homme à tête d’ours et un petit être à tête de singe, chacun façonné avec soin dans des branchages entrelacés.
Le chant des branches et des rêves
Ces figures semblaient sorties de la forêt, de la campagne ou des arbres avoisinants. L’homme à tête d’ours, imposant et mystérieux, dans sa cape de feutre gris, semblait fort, peut-être même dangereux et en même temps apprivoisé. On ne savait si c’était l’un de nous reparti à l’état sauvage ou un ours désapprivoisé, sans maître, déambulant au gré de sa fantaisie. Le petit homme à tête de singe, était plus espiègle et agile, sautillant en agitant des bras des mains et des yeux. Était-il un lutin des forêts accompagnant ou un esprit murmurant aux oreilles de l’ours…
Un voyage entre les mondes
Leur présence au festival semblait une invitation à renouer avec la nature, au-delà des brebis et béliers, présents, mais connus et en grande partie prévisibles, au-delà des animaux domestiques, à écouter le mouvement libre du règne animal sauvage, et des branches le symbolisant. Créatures éphémères, le temps d’un festival, inquiétant les petits, divertissant les passants, entrainant les moins timorés dans leur cavalcade, au son du tambourin, d’une mélodie envoutante et du chant de la flûte, avec un mélange d’admiration et de nostalgie pour ces temps où la vie était plus proche de la nature, où notre curiosité du monde nous transportait sur cinq continents à travers divers règnes, à la recherche de connaissances étranges, proches ou lointaines…
D’autres de ces êtres hybrides étaient présents, l’hiver dernier, lors du festival de la laine de Montbrun-Bocage. Ces derniers étaient couverts de feutre afin de résister aux rigueurs du froid descendant des montagnes2.
La peur en filigrane
Mais quand est-il vraiment ? Et si leur présence, sans vouloir semer la peur, n’était-elle pas l’annonce cataclysmique d’une nouvelle épidémie, mpox, fièvre catarrhale, hémorragie épizootique ?… Si l’être simiesque n’était là qu’en préfiguration d’une variole du même ordre ? D’ailleurs les couleurs et textures singulières relevées sur les habitations de Sauxillanges ne sont-elles pas les symptômes précurseurs de lésions cutanées ? Du bleu, de l’orange, du vert, du grumeleux, des encadrés, … comme autant de signaux alarmants d’une normalité biaisée, transformant par petites touches, l’environnement banal du blanc, beige, gris…
Ode à la créativité humaine
Non ! Je ne peux pas croire que ces créatures soient là pour annoncer une quelconque épidémie. Ni même entacher par une couleur la santé d’une maison ! La couleur, et j’en sais quelque chose, caresse nos âmes et nos corps, apportant avec elle des murmures de bien-être. Chaque couleur, en touches délicates, agit subtilement sur nos humeurs et nos émotions, stimulant tout au long des heures et des jours de contact et de reflet, notre santé.
Ces entrelacs de branches, ces masques, ces hommes à tête bestiale, leurs gestuelles dandinantes, réveillent en nous un inconscient collectif, des mémoires enfouies, des récits oubliés, à la recherche de l’harmonie avec la nature qui nous entoure. Ils nous rappellent que, dans ce monde actuel, il est encore possible de s’émerveiller, de croire aux histoires que nous tissons avec la laine, les branches, et les rêves.
Au Festival de la Laine de Sauxillanges, l’homme à tête d’ours et le petit homme à tête de singe bondissent et gambadent dans mon souvenir au rythme d’un week-end humide d’Auvergne, porteurs de nouvelles légendes à écrire. Il faut simplement lâcher prise et se laisser guider dans une équipée où l’art, la nature et le mystère se rencontrent pour un instant de bonheur et de magie.
du 19 au 21 juillet 2024 à Sauxillanges, Puy-de-Dôme, France
La petite commune de Sauxillanges, nichée au cœur de l’Auvergne, se prépare à accueillir une nouvelle édition du Festival de la Laine. Cet événement, incontournable pour les amateurs et professionnels de l’artisanat textile, se déroulera les 19, 20 et 21 juillet 2024. Pendant trois jours, les rues de Sauxillanges vibreront au rythme des démonstrations, des ateliers et des expositions autour de la laine et des métiers d’art.
La laine dans tous ses états !…
Chaque année, le Festival de la Laine de Sauxillanges rassemble des artisans, des créateurs et des visiteurs venus de toute la France et d’ailleurs. Les participants pourront découvrir les différentes étapes de la transformation de la laine brute en produits finis, du cardage au tricot, en passant par le feutrage.
Un programme riche et varié
Au programme du vendredi 19 juillet, des ateliers d’initiation au feutre, filage, matelasserie, tissage, teinture végétale…
Et dès le vendredi 19 juillet, trois expositions sont proposées aux visiteurs :
« Murmures en forêt » œuvres des artisans créateurs, dans la yourte,
« Arbres » de Jean Paul Dupuy, dans la salle d’animation,
« Créatures oniriques de la forêt » par Marie Van Gysel, sculptrice textile, sur l’estrade de la salle des fêtes.
Des conférences et entretiens :
« Arbre : allégories et symbolisme » par Jean-Paul Dupuy, vendredi 19 juillet 20h00,
entretien sur l’éco-paturage en forêt avec Thérèse Kolher, samedi 20 juillet à 14h00 et 17h00 ;
entretien sur l’éco-paturage en forêt avec Thérèse Kolher, dimanche 21 juillet à 11h00 et 17h00.
« L’homme qui plantait des arbres » avec Nicole Bouille et Richard Héry, le vendredi 19 juillet à 21h30,
lecture autour de la forêt, le samedi 20 juillet à 11h00 et 17h00,
« L’homme qui plantait des arbres » avec Nicole Bouille et Richard Héry, le samedi 20 juillet à 15h30,
concert de William Sabatier, bandéoniste, le samedi 20 juillet à 21h00,
« La mouette et le chat » de la Compagnie Show Devant, le dimanche 21 juillet à 15h00,
lecture autour de la forêt, le dimanche 21 juillet à 11h00 et 17h00.
… et son marché d’artisanat de la laine, à partir du samedi 20 juillet
Et à partir du samedi 20 juillet, un marché d’artisanat d’art de la laine avec une cinquantaine d’exposants : • samedi 20 juillet de 10h00 à 20h00, • dimanche 21 juillet de 10h00 à 19h00.
Ponctué d’évènements : • Un lâcher de brebis, le samedi et dimanche à 10h00, • Déshabillez-nous !, la tonte des brebis par Christophe Guibert, le samedi à partir de 14h00, dimanche à partir de 10h30
L’habit en roses : l’ennoblisement textile au cœur du festival
Parmi les nombreux exposants présents cette année, L’habit en roses présentera son savoir-faire et sa passion pour la teinture végétale sur textile. L’atelier de teinture végétale L’habit en roses invite le public à plonger dans l’univers subtil des teintures végétales. La pratique de la teinture végétale offre une alternative naturelle et durable à la coloration textile.
L’habit en roses travaille essentiellement des végétaux locaux, pour la plupart obtenus par glanage, tri des déchets de jardinage ou produits spécifiquement pour leur pouvoir tinctoriaux : anthémis, cosmos, coréopsis, tanaisies, écorces de fruitier, etc… Les plantes tinctoriales sont nombreuses et la palette des couleurs obtenues, vaste…
Pour sa 1ère participation au Festival de la Laine de Sauxillanges, L’habit en roses, au-delà de ses couleurs végétales sur textile, s’intègre dans le salon :
par ses produits finis en laine, teints aux couleurs de plantes. L’habit en roses sélectionne des matières premières locales ou traçables pour proposer une gamme variée de produits en laine française, en soie indienne et des cachemires pashmina du Ladakh. Une partie seulement des créations de L’habit en roses est disponible sur sa boutique en ligne. Les petites séries de vêtements, les secondes vies colorées, les créations singulières ou précieuses, ne sont visibles que sur les stands, privilégiant la rencontre directe avec les personnes sur les événements. Sur ce marché, les visiteurs pourront découvrir et percevoir mes couleurs et matières à la lumière du monde réel…
en partant de plantes locales, L’habit en roses exprime toute la palette de couleurs que la nature propose. Ce savoir-faire fait l’objet d’ateliers de découverte, d’initiation et d’approfondissement à différentes techniques. L’habit en roses peut aussi proposer des services de teinture à façon, sur fils ou tissus, pour les personnes qui souhaitent personnaliser leurs articles ou fil de laine.
par sa collaboration avec d’autres artisans ou artistes qui travaillent la laine sous différentes formes : tissage, feutrage, tricot, crochet et confection… L’habit en roses peut ainsi créer synergies et échanges entre différents acteurs, pour proposer des produits uniques, qui mêlent couleurs naturelles et techniques artisanales du textile.
Les exposants
Je ne citerai pas les cinquante exposants prévus pour cette édition. Je me contenterai de mentionner ceux qui, lors de précédentes rencontres, par leur travail, par leurs valeurs, par leur personnalité, m’ont donné l’envie de vous partager ce qu’ils sont et ce qu’ils font…
Irina Marajeva, pour son incroyable talent de feutrière et ses somptueuses créations…,
Cours toujours… ; Enfin, je vais rencontrer cette ex-angevine et ses déco feutrées…
et bien sûr, tous ceux que j’oublie et tous ceux que j’ai hâte de découvrir !
Liste des exposants
Un rendez-vous pour les passionnés
Le Festival de la Laine de Sauxillanges 2024 promet d’être une expérience enrichissante et inspirante pour tous les amateurs d’artisanat textile. Ne manquez pas cette occasion de plonger dans l’univers fascinant de la laine et ses multiples déclinaisons de l’animal à nos vêtements et décorations de maison…
Centro de capacitación – Curso de capacitation en trasquilo de ovinos
Ixtenco
Ixtenco est une municipalité de l’État mexicain de Tlaxcala. Située sur une plaine d’altitude à 2 500 m, à l’ombre du volcan La Malinche. On y célèbre son maïs, fête de San Juan Bautista – 23/24 juin, son artisanat textile, on randonne sur les flancs du volcan endormi, on déguste son mole, l’atole. Ixtenco serait le dernier bastion de la culture Otomi en Tlaxcala.
…près la Malinche
La Malinche, haute de plus de 4 400 m, est bien plus qu’une montagne. Elle symbolise l’ancêtre. Elle est représentée comme une belle jeune femme qui tisse, cheveux coiffés en tresses et vêtue du chemisier traditionnel. Elle serait l’initiatrice locale du tissage, des plissages et broderies bien particulières qu’on retrouve sur les costumes féminins portés lors d’occasions spéciales. La broderie en pepenado, de tradition otomie, consiste en de fines pointes disposées pour former des figurines, motifs floraux ou géométriques. Ces dessins ont une infinité de significations, évoquant la déesse de l’eau Matlalcueye, le nom que les anciens Tlaxcalans donnaient à La Malinche.
Pour le côté sombre, la Malinche est aussi le nom d’une amérindienne, d’origine nahuatl, née vers 1500. Esclave donnée au conquistador Hernan Cortes, elle assiste avec efficacité les Espagnols en tant qu’interprète (maya et nahuatl). Elle devint sa maîtresse puis une redoutable conseillère stratégique. Beaucoup s’accorde à ce que la Malinche a facilité la conquête de l’empire aztèque puis du Mexique par les Espagnols. Certains la considèrent comme une traîtresse à son pays et son peuple, tandis que d’autres voient en elle une victime de circonstances difficiles, cherchant à naviguer au mieux dans un monde en transformation. Au fil du temps, le nom Malinche est devenu un terme générique au Mexique pour désigner une personne qui trahit sa propre culture.
La Fibre Textile
Sous ce double patronage, la Fibre textile, association œuvrant par l’échange au développement des arts textiles et aux activités liées au travail des fibres sous toutes ses formes, a décidé en 2017, de soutenir des éleveurs ovins du village d’Ixtenco, dans un projet de valorisation de la laine. Une vétérinaire, accueillie solidairement en France par des bénévoles (éleveurs, artisans), a appris à traiter la toison (de la tonte aux fils puis au tissage, en passant par la teinture végétale).
De retour au village, elle a mis en place un projet pour la promotion de la laine en Txalcala : formation en continu, création d’un collectif de producteurs ovins, animation d’échanges commerciaux, jusqu’à la création d’un centre de formation et d’un atelier de transformation. Les besoins initiaux en matériels pour l’atelier (outils et machines pour tondre, carder, filer, teindre, récupérer l’eau de pluie, chauffe-eau solaire…) avaient été évalués par les villageois à 5 000 €.
Curso de capacitation en trasquilo de ovinos
Une première intervention eu lieu en 2018, menée par Christelle Jeannet – Séraphita, experte dans toutes ces thématiques et hispanophone aguerrie.
L’habit en roses a participé en tant que bénévole à la deuxième intervention en février 2020 (à mon retour, nous étions tous soudainement confinés…). Un défi et une expérience enrichissante pour ma pratique ! Je partais avec l’atout de ne faire des couleurs qu’avec des végétaux, le plus souvent auto-produits ou glanés. Mais il a fallu basculer dans le nouveau monde et sa botanique native. Bien heureuse de la mondialisation de la végétation : de nombreuses plantes se sont acclimatée en Europe, et je les pratiquais. Il ne fallait plus que retenir leur nom vernaculaire en espagnol. Une préparation faite de recherche en bibliothèque, de réanimation de mon espagnol plus que poussif malgré mon patronyme ibérique et de mémorisation des mots techniques de la teinture et de la transformation des fibres animales en multi-langues. J’ai cependant mon lot de boulettes, comme vouloir teindre avec des œillets d’Inde, utilisés culturellement avec d’autres astéracées pour célébrer en fleurs le Jour des Morts…
L’équipe en place désireuse de se former était entièrement féminine et avait dégagée toutes ses matinées pour cette formation collective. Christelle a ravivé les savoirs déjà abordés en 2018 : tri de la laine, lavage, cardage, puis son filage, avec un rouet financé lors de la première action, ou bien avec des fuseaux rudimentaires. Elle les a aussi initiées au feutre à l’eau à plat et en 3D.
Pour ma part, j’ai transmis les techniques de teinture végétale (avec Christelle qui a eu la lourde charge de traduire mes interventions) : mordancer, préparer les écheveaux à la teinture, extraire les couleurs des plantes, teindre, varier les concentrations, nuancer, puis réaliser les ultimes finitions.
¡Colores para México!
La régularité des présences, et progressivement les départs de plus en plus tardifs, des stagiaires, jusqu’à finalement passer les journées entières dans la cour aux divers ateliers, ont démontré la prise de conscience au fil des jours que la diversité et l’harmonie des couleurs naturelles, au delà de sa beauté, avait aussi un intérêt économique.
Pouvoir réaliser des produits colorés et attractifs valorisant leur laine jusqu’alors inexploitée. Pouvoir utiliser des ressources végétales locales, gratuites pour produire en autonomie des vêtements et des accessoires source de revenus complémentaire. C’est avec joie que Christelle et moi, avons pu observer leurs sourires, leur curiosité et leur application croissante à filer, teindre, feutrer tout au long de la journée… Notre but était atteint !
Et c’est un plaisir inoubliable que de produire des couleurs sur des laines beiges ou grèges, que d’entendre les exclamations enthousiastes du groupe à chaque sortie de bain, d’apporter toutes ces couleurs pour participer à l’univers si coloré de la vie mexicaine.
Merci à Norma, Christina, Violetta et toute la famille pour l’accueil, à Christelle, à Elisa, Alberta, Diega, Berta, Guillermina pour leur participation et à tous les sourires partagés
Una bolsa de cochinillas para regalar
A la fin de ce merveilleux séjour, elles m’ont offert un sachet de cochenilles de Oaxaca, dont j’utilise encore régulièrement des pincées pour produire du fuchsia ou dynamiter la couleur de ma garance. J’ai aussi reçu une jolie broderie, offerte par nos hôtes. Elle est ornée, d’une belle fleur de chrysanthème sur un carré de coton. Je crois bien qu’elles non plus n’imaginaient pas que ce chrysanthème, si beau soit-il, me ramenait quand même un petit peu à la Toussaint, notre fête des morts…
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